Titre : | Entre nos mains l'embryon : Recherche bioéthique | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Thevoz, Jean-Marie, Auteur | Editeur : | Genève : Labor et fides | Année de publication : | 1990 | Collection : | Le Champ Ethique num. 17 | Importance : | 352 p | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-8309-0587-8 | Langues : | Français | Index. décimale : | 951 BIOLOGIE ET ETHIQUE | Résumé : | Quel statut faut-il accorder à l'embryon humain in vitro ?
C'est l'une des question brûlantes que se pose aujourd'hui la bioéthique. L'auteur la reprend en examinant les nouvelles techniques de reproduction ou de procréation artificielle. Il montre, à partir d'une démarche théologique protestante, que l'être humain reçoit une vocation à la liberté et à la maîtrise de la nature. Ce n'est donc pas le côté artificiel de la procréation assistée qui présente des difficultés éthiques, mais la possibilité d'une déshumanisation par le refus de prendre en compte les aspects profondément relationnels de la procréation.
Ecartant les positions vitalistes, l'auteur présente pour le statut de l'embryon une position originale où la relation entre les parents et les embryons in vitro est centrale et détermine le degré de protection qu'on doit lui accorder au moment de prendre une décision concernant sa destinée . |
Entre nos mains l'embryon : Recherche bioéthique [texte imprimé] / Thevoz, Jean-Marie, Auteur . - Genève : Labor et fides, 1990 . - 352 p. - ( Le Champ Ethique; 17) . ISBN : 978-2-8309-0587-8 Langues : Français Index. décimale : | 951 BIOLOGIE ET ETHIQUE | Résumé : | Quel statut faut-il accorder à l'embryon humain in vitro ?
C'est l'une des question brûlantes que se pose aujourd'hui la bioéthique. L'auteur la reprend en examinant les nouvelles techniques de reproduction ou de procréation artificielle. Il montre, à partir d'une démarche théologique protestante, que l'être humain reçoit une vocation à la liberté et à la maîtrise de la nature. Ce n'est donc pas le côté artificiel de la procréation assistée qui présente des difficultés éthiques, mais la possibilité d'une déshumanisation par le refus de prendre en compte les aspects profondément relationnels de la procréation.
Ecartant les positions vitalistes, l'auteur présente pour le statut de l'embryon une position originale où la relation entre les parents et les embryons in vitro est centrale et détermine le degré de protection qu'on doit lui accorder au moment de prendre une décision concernant sa destinée . |
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