Titre : | Faire vivre : L'Eglise catholique et l'avortement | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Gilbert Duchène, Responsable de l'équipe de recherche ; Gérard Defois (1931-....), Responsable de l'équipe de recherche | Editeur : | Paris : Le Centurion | Année de publication : | 1979 | Importance : | 174 p | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-227-42530-9 | Langues : | Français | Index. décimale : | 954 AVORTEMENT | Résumé : | De 150 000 à 200 000 avortements en France chaque année. L'interruption volontaire de grossesse devenue un "droit" ou encore une "libération". Accepter cela est, pour certains, une forme de progrès et d'ouverture d'esprit, le refuser est pris pour un retard et manifesterait un esprit rétrograde.
Que se passe-t-il pour que nous ayons peur de faire vivre ? Faut-il que nous soyons écrasés devant l'avenir pour que nous n'ayons plus le goût de vivre et de faire vivre ! Crispés sur le confort de nos certitudes,nous ressentons l'annonce d'un enfant comme une agression, une gêne à éviter.
Alors qu'à nouveau le pays va choisir, l’Église ne peut pas se taire. Sans condamner ceux qui souffrent, elle ne se résigne pas à la désespérance des hommes en la vie. Il y a une alternative à la détresse des morts précoces. La foi en Dieu nous rappelle la confiance en l'homme. Elle nous provoque à imaginer une société où l'enfance et la jeunesse seraient au centre des ses réussites. Il y va pour tous du sens et de l'avenir de notre humanité. |
Faire vivre : L'Eglise catholique et l'avortement [texte imprimé] / Gilbert Duchène, Responsable de l'équipe de recherche ; Gérard Defois (1931-....), Responsable de l'équipe de recherche . - Paris : Le Centurion, 1979 . - 174 p. ISBN : 978-2-227-42530-9 Langues : Français Index. décimale : | 954 AVORTEMENT | Résumé : | De 150 000 à 200 000 avortements en France chaque année. L'interruption volontaire de grossesse devenue un "droit" ou encore une "libération". Accepter cela est, pour certains, une forme de progrès et d'ouverture d'esprit, le refuser est pris pour un retard et manifesterait un esprit rétrograde.
Que se passe-t-il pour que nous ayons peur de faire vivre ? Faut-il que nous soyons écrasés devant l'avenir pour que nous n'ayons plus le goût de vivre et de faire vivre ! Crispés sur le confort de nos certitudes,nous ressentons l'annonce d'un enfant comme une agression, une gêne à éviter.
Alors qu'à nouveau le pays va choisir, l’Église ne peut pas se taire. Sans condamner ceux qui souffrent, elle ne se résigne pas à la désespérance des hommes en la vie. Il y a une alternative à la détresse des morts précoces. La foi en Dieu nous rappelle la confiance en l'homme. Elle nous provoque à imaginer une société où l'enfance et la jeunesse seraient au centre des ses réussites. Il y va pour tous du sens et de l'avenir de notre humanité. |
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