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Un appel qui constitue une nouvelle surprise de Dieu dans ma vie / Pietro Parolin in La documentation catholique, 2512 (Octobre 2013)
[article]
in La documentation catholique > 2512 (Octobre 2013) . - 115-116 p
Titre : Un appel qui constitue une nouvelle surprise de Dieu dans ma vie : 31 août 2013, première déclaration de Mgr Pietro Parolin Type de document : texte imprimé Auteurs : Pietro Parolin, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 115-116 p Langues : Français Langues originales : Italien Résumé : Le pape François a nommé le 31 août 2013 Mgr Pietro Parolin, actuel nonce apostolique au Venezuela, aux fonctions de secrétaire d'État du Saint-Siège. Il succédera le 15 octobre prochain au cardinal Tarcisio Bertone. La salle de presse du Saint-Siège a diffusé le même jour le texte d'une déclaration de Mgr Parolin. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Documents/Actes-du-Saint-Siege/Un-appel-qui [...] [article] Un appel qui constitue une nouvelle surprise de Dieu dans ma vie : 31 août 2013, première déclaration de Mgr Pietro Parolin [texte imprimé] / Pietro Parolin, Auteur . - 2013 . - 115-116 p.
Langues : Français Langues originales : Italien
in La documentation catholique > 2512 (Octobre 2013) . - 115-116 p
Résumé : Le pape François a nommé le 31 août 2013 Mgr Pietro Parolin, actuel nonce apostolique au Venezuela, aux fonctions de secrétaire d'État du Saint-Siège. Il succédera le 15 octobre prochain au cardinal Tarcisio Bertone. La salle de presse du Saint-Siège a diffusé le même jour le texte d'une déclaration de Mgr Parolin. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Documents/Actes-du-Saint-Siege/Un-appel-qui [...] Le cardinal Parolin apporte les encouragements du pape à la Cop21 / Pietro Parolin in La documentation catholique, 2522 (avril 2016)
[article]
in La documentation catholique > 2522 (avril 2016) . - p. 123-124
Titre : Le cardinal Parolin apporte les encouragements du pape à la Cop21 : 30 novembre 2015, discours du cardinal Parolin lors de l'ouverture de la COP21 Type de document : texte imprimé Auteurs : Pietro Parolin, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 123-124 Langues : Français Résumé : Au nom du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’État, a prononcé un discours le 30 novembre 2015 lors de l’ouverture de la COP21 à Paris. Une intervention apportant les « sincères encouragements » du pape François aux parties prenantes de la Conférence contre le réchauffement climatique. Encouragements, afin que soit adopté un accord « global et transformateur ». Un accord international, a expliqué le cardinal Parolin, qui ait « une orientation éthique claire » (premier pilier de la transformation souhaitée) ; qui transmette « des signaux forts à tous les acteurs impliqués » (deuxième pilier) ; et qui adopte « une vision à long terme » intégrant les trois objectifs évoqués par le pape François : « alléger les impacts du changement climatique, combattre la pauvreté, promouvoir la dignité de l’être humain » (troisième pilier). En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2522-A/ [...] [article] Le cardinal Parolin apporte les encouragements du pape à la Cop21 : 30 novembre 2015, discours du cardinal Parolin lors de l'ouverture de la COP21 [texte imprimé] / Pietro Parolin, Auteur . - 2016 . - p. 123-124.
Langues : Français
in La documentation catholique > 2522 (avril 2016) . - p. 123-124
Résumé : Au nom du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, Secrétaire d’État, a prononcé un discours le 30 novembre 2015 lors de l’ouverture de la COP21 à Paris. Une intervention apportant les « sincères encouragements » du pape François aux parties prenantes de la Conférence contre le réchauffement climatique. Encouragements, afin que soit adopté un accord « global et transformateur ». Un accord international, a expliqué le cardinal Parolin, qui ait « une orientation éthique claire » (premier pilier de la transformation souhaitée) ; qui transmette « des signaux forts à tous les acteurs impliqués » (deuxième pilier) ; et qui adopte « une vision à long terme » intégrant les trois objectifs évoqués par le pape François : « alléger les impacts du changement climatique, combattre la pauvreté, promouvoir la dignité de l’être humain » (troisième pilier). En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2522-A/ [...] Des Eglises orientales de nature "à être une terre du milieu et de rencontre" / Pietro Parolin in La documentation catholique, 2537 (janvier 2020)
[article]
in La documentation catholique > 2537 (janvier 2020) . - p. 22-31
Titre : Des Eglises orientales de nature "à être une terre du milieu et de rencontre" : 12 septembre 2019, intervention du cardinal Parolin lors de la rencontre des évêques catholiques des Églises orientales d’Europe Type de document : texte imprimé Auteurs : Pietro Parolin, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 22-31 Langues : Français Résumé : Du 12 au 14 septembre 2019, les évêques catholiques des Églises orientales d’Europe se sont réunis à Rome afin de réfléchir sur leur mission œcuménique. Une rencontre organisée par le Conseil des conférences épiscopales d’Europe (CCEE). À cette occasion, le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Saint-Siège a fait une intervention en trois points sur le « rôle des Églises orientales dans le contexte des rapports œcuméniques : une approche entre pastorale et diplomatie ».
À première vue, a expliqué le cardinal Parolin, diplomatie et engagement œcuménique semblent être des « éléments appartenant à deux mondes différents ». En y regardant de plus près, « ils partagent un espace beaucoup plus vaste que l’on ne pourrait imaginer ». « La diplomatie de l’Église est un service à chaque homme et à chaque femme créés à l’image de Dieu, a-t-il indiqué, et l’Église ne cessera jamais d’offrir sa collaboration au monde entier, en mettant au service de tous son expérience d’humanité et d’amour envers l’homme… » Pour lui, il est aisé de s’apercevoir de la façon dont la diplomatie du Saint-Siège renferme en elle, deux éléments : « le premier, le temporel, lié à la condition de l’homme comme viator ; le second, le spirituel, qui lui appartient en vertu d’être “corps pour l’Esprit” dans l’Église ».
De son côté, le but du chemin œcuménique est « celui d’exaucer le profond désir du Seigneur, ut unum sint, en surmontant les douloureux événements qui, au cours des siècles, ont amené à lacérer la tunique sans couture du Christ ». Ainsi, les plans où se situe le dialogue sur ces chemins ne sont pas « séparés ». « Dans les deux cas, a expliqué le cardinal Parolin, on tend à privilégier la concorde, à guérir les blessures et les divisions, qu’elles soient de type ecclésial, religieux ou politique… » Mais, a-t-il prévenu, il faut également en souligner la différence, « dans la mesure où le danger de confondre les plans » comporterait « un funeste enchevêtrement entre politique et plan de foi ». Pour le cardinal Parolin, utiliser la religion « comme un appât ou un prétexte pour atteindre ses propres objectifs politiques est une utilisation éhontée de l’art de la diplomatie », art qui est celui de l’espérance. Le dialogue, méthode commune à la diplomatie et à l’œcuménisme, se nourrit donc de cette espérance… et de patience.
Après avoir donné quelques exemples du travail accompli en ce sens par les différents papes, le cardinal a relevé les atouts des Églises catholiques orientales afin de renforcer et de rendre « plus efficace l’action œcuménique et diplomatique du Saint-Siège ». Particulièrement celui de leur position spécifique qui comporte plusieurs aspects : elles se trouvent sur des territoires à haute tension géopolitique (Moyen-Orient, Europe de l’Est), leur histoire et leur expérience représentent « un trésor indispensable » afin que le dialogue puisse continuer et elles sont de nature « à être une terre du milieu », de rencontre, avec les Églises orthodoxes. L’expérience (« une coexistence de quatorze siècles ») des Églises catholiques orientales du Moyen-Orient est également « très précieuse et doit être écoutée » en matière de dialogue avec l’islam… « S’il est vrai que le chemin vers l’unité des chrétiens parcouru il y a trois ou quatre siècles et qui est à l’origine des Églises catholiques orientales, n’est plus accueilli par la vision actuelle de l’Église, a encore souligné le cardinal Parolin, il est impossible de nier le bien que Dieu a voulu donner à toute l’Église à travers la spiritualité, la liturgie et la théologie orientales, expression de la multiforme orientalis varietas de sa communion. »En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Documentation-catholique/Eglise-dans-le-Mo [...] [article] Des Eglises orientales de nature "à être une terre du milieu et de rencontre" : 12 septembre 2019, intervention du cardinal Parolin lors de la rencontre des évêques catholiques des Églises orientales d’Europe [texte imprimé] / Pietro Parolin, Auteur . - 2020 . - p. 22-31.
Langues : Français
in La documentation catholique > 2537 (janvier 2020) . - p. 22-31
Résumé : Du 12 au 14 septembre 2019, les évêques catholiques des Églises orientales d’Europe se sont réunis à Rome afin de réfléchir sur leur mission œcuménique. Une rencontre organisée par le Conseil des conférences épiscopales d’Europe (CCEE). À cette occasion, le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Saint-Siège a fait une intervention en trois points sur le « rôle des Églises orientales dans le contexte des rapports œcuméniques : une approche entre pastorale et diplomatie ».
À première vue, a expliqué le cardinal Parolin, diplomatie et engagement œcuménique semblent être des « éléments appartenant à deux mondes différents ». En y regardant de plus près, « ils partagent un espace beaucoup plus vaste que l’on ne pourrait imaginer ». « La diplomatie de l’Église est un service à chaque homme et à chaque femme créés à l’image de Dieu, a-t-il indiqué, et l’Église ne cessera jamais d’offrir sa collaboration au monde entier, en mettant au service de tous son expérience d’humanité et d’amour envers l’homme… » Pour lui, il est aisé de s’apercevoir de la façon dont la diplomatie du Saint-Siège renferme en elle, deux éléments : « le premier, le temporel, lié à la condition de l’homme comme viator ; le second, le spirituel, qui lui appartient en vertu d’être “corps pour l’Esprit” dans l’Église ».
De son côté, le but du chemin œcuménique est « celui d’exaucer le profond désir du Seigneur, ut unum sint, en surmontant les douloureux événements qui, au cours des siècles, ont amené à lacérer la tunique sans couture du Christ ». Ainsi, les plans où se situe le dialogue sur ces chemins ne sont pas « séparés ». « Dans les deux cas, a expliqué le cardinal Parolin, on tend à privilégier la concorde, à guérir les blessures et les divisions, qu’elles soient de type ecclésial, religieux ou politique… » Mais, a-t-il prévenu, il faut également en souligner la différence, « dans la mesure où le danger de confondre les plans » comporterait « un funeste enchevêtrement entre politique et plan de foi ». Pour le cardinal Parolin, utiliser la religion « comme un appât ou un prétexte pour atteindre ses propres objectifs politiques est une utilisation éhontée de l’art de la diplomatie », art qui est celui de l’espérance. Le dialogue, méthode commune à la diplomatie et à l’œcuménisme, se nourrit donc de cette espérance… et de patience.
Après avoir donné quelques exemples du travail accompli en ce sens par les différents papes, le cardinal a relevé les atouts des Églises catholiques orientales afin de renforcer et de rendre « plus efficace l’action œcuménique et diplomatique du Saint-Siège ». Particulièrement celui de leur position spécifique qui comporte plusieurs aspects : elles se trouvent sur des territoires à haute tension géopolitique (Moyen-Orient, Europe de l’Est), leur histoire et leur expérience représentent « un trésor indispensable » afin que le dialogue puisse continuer et elles sont de nature « à être une terre du milieu », de rencontre, avec les Églises orthodoxes. L’expérience (« une coexistence de quatorze siècles ») des Églises catholiques orientales du Moyen-Orient est également « très précieuse et doit être écoutée » en matière de dialogue avec l’islam… « S’il est vrai que le chemin vers l’unité des chrétiens parcouru il y a trois ou quatre siècles et qui est à l’origine des Églises catholiques orientales, n’est plus accueilli par la vision actuelle de l’Église, a encore souligné le cardinal Parolin, il est impossible de nier le bien que Dieu a voulu donner à toute l’Église à travers la spiritualité, la liturgie et la théologie orientales, expression de la multiforme orientalis varietas de sa communion. »En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Documentation-catholique/Eglise-dans-le-Mo [...]
[article]
in La documentation catholique > 2522 (avril 2016) . - p. 42-49
Titre : La paix est un devoir : 28 octobre 2015, intervention conclusive du cardinal Parolin lors du Congrès en lien avec les 50 ans de Nostra aetate Type de document : texte imprimé Auteurs : Pietro Parolin, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 42-49 Langues : Français Résumé : Du 26 au 28 octobre 2015 un Congrès international a été organisé à l’université pontificale Grégorienne, à Rome à l” occasion du 50e anniversaire de Nostra Aetate, pour commémorer cet événement et en analyser ses répercussions. Une partie des débats était consacrée à l’engagement des religions pour la paix et au défi de la liberté religieuse. C’est le cardinal Secrétaire d’État, Pietro Parolin, qui a donné la conférence conclusive sous le signe de l’éducation à la paix. Il a développé son propos selon quatre points : l’horizon de la paix, ses racines bibliques, l’éducation à la paix dans le magistère pontifical récent, l’éducation à la paix aujourd’hui. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2521-K/ [...] [article] La paix est un devoir : 28 octobre 2015, intervention conclusive du cardinal Parolin lors du Congrès en lien avec les 50 ans de Nostra aetate [texte imprimé] / Pietro Parolin, Auteur . - 2016 . - p. 42-49.
Langues : Français
in La documentation catholique > 2522 (avril 2016) . - p. 42-49
Résumé : Du 26 au 28 octobre 2015 un Congrès international a été organisé à l’université pontificale Grégorienne, à Rome à l” occasion du 50e anniversaire de Nostra Aetate, pour commémorer cet événement et en analyser ses répercussions. Une partie des débats était consacrée à l’engagement des religions pour la paix et au défi de la liberté religieuse. C’est le cardinal Secrétaire d’État, Pietro Parolin, qui a donné la conférence conclusive sous le signe de l’éducation à la paix. Il a développé son propos selon quatre points : l’horizon de la paix, ses racines bibliques, l’éducation à la paix dans le magistère pontifical récent, l’éducation à la paix aujourd’hui. En ligne : http://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Archives/Documentation-catholique-n-2521-K/ [...] " Porter en nous les traits de Marie c’est tout simplement ne pas avoir peur " / Pietro Parolin in La documentation catholique, 2540 (octobre 2020)
[article]
in La documentation catholique > 2540 (octobre 2020) . - p. 108-110
Titre : " Porter en nous les traits de Marie c’est tout simplement ne pas avoir peur " : 15 août 2020, homélie du cardinal Parolin en la solennité de l’Assomption de Marie Type de document : texte imprimé Auteurs : Pietro Parolin, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 108-110 Langues : Français Résumé : Le 15 août 2020, solennité de l’Assomption de la Vierge Marie, le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Saint-Siège, a présidé les festivités au sanctuaire de Lourdes à l’occasion du 147e Pèlerinage national. Dans son homélie, prononcée au cours de la célébration eucharistique en la basilique souterraine Saint-Pie-X, il a rappelé les propos du concile Vatican II (Lumen gentium n. 68) selon lesquels Marie, «?resplendissante de gloire, se montre à nous comme signe de consolation et d’espérance sûre?». Des paroles qui, selon le cardinal Parolin, sont d’une grande actualité «?eu égard au contexte de la pandémie, qui menace encore notre monde et des nombreux conflits et tensions qui l’affligent, un monde qui connaît l’obscurité, la peur et la désorientation?». Cependant, a-t-il souligné, «?porter les traits de la Mère de Jésus élevée dans la gloire, en tant qu’hommes et femmes eucharistiques, immergés dans le discernement?», signifie en toute simplicité «?ne pas avoir peur?». Pour lui, en effet, l’homme et la femme, qui portent ces traits «?ne reculent pas, ni ne se soumettent?». «?Ils savent transformer le désert, un lieu aride et inhospitalier, en refuge sûr où l’on conserve ce qui rend vivant?; sans utiliser les armes et la violence, mais avec la joie et la prière qui devient fidélité dans la promesse et dans le don de soi, ils ne permettent pas aux orgueilleux, aux riches, aux puissants, aux corrompus, de s’ériger en “exégètes de la vie”, “manipulateurs” des consciences et des corps des personnes, “voleurs” de l’avenir et de l’espérance.?»
S’inspirant des propos du pape François (Evangelium gaudium n. 87), le secrétaire d’État du Saint-Siège a poursuivi son homélie affirmant que la grotte ouverte de Lourdes, «?que nous voyons et touchons avec les mains et les yeux du corps et de l’esprit, comme et à cause du sépulcre vide de Jésus?», participait à la transmission de la «?mystique?» du vivre ensemble, «?de se mélanger, de se rencontrer, de se prendre dans les bras, de se soutenir, de participer à cette marée un peu chaotique qui peut se transformer en une véritable expérience de fraternité, en une caravane solidaire?». «?Que cette “mystique” accompagne toujours notre croissance dans le discernement?», a-t-il souhaité. «?Et qu’avec cela les traits de la Vierge Marie élevée dans la gloire grandissent en chacun de nous pour que nous puissions toujours plus appartenir joyeusement au peuple qui en porte filialement l’image dans la mesure où, sans hésitation, sans bavardages et murmures, on se consacre entièrement au pacte et à la marche qui rend missionnaires et évangélisateurs…?»En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Documentation-catholique/2020-06-09-120110 [...] [article] " Porter en nous les traits de Marie c’est tout simplement ne pas avoir peur " : 15 août 2020, homélie du cardinal Parolin en la solennité de l’Assomption de Marie [texte imprimé] / Pietro Parolin, Auteur . - 2020 . - p. 108-110.
Langues : Français
in La documentation catholique > 2540 (octobre 2020) . - p. 108-110
Résumé : Le 15 août 2020, solennité de l’Assomption de la Vierge Marie, le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’État du Saint-Siège, a présidé les festivités au sanctuaire de Lourdes à l’occasion du 147e Pèlerinage national. Dans son homélie, prononcée au cours de la célébration eucharistique en la basilique souterraine Saint-Pie-X, il a rappelé les propos du concile Vatican II (Lumen gentium n. 68) selon lesquels Marie, «?resplendissante de gloire, se montre à nous comme signe de consolation et d’espérance sûre?». Des paroles qui, selon le cardinal Parolin, sont d’une grande actualité «?eu égard au contexte de la pandémie, qui menace encore notre monde et des nombreux conflits et tensions qui l’affligent, un monde qui connaît l’obscurité, la peur et la désorientation?». Cependant, a-t-il souligné, «?porter les traits de la Mère de Jésus élevée dans la gloire, en tant qu’hommes et femmes eucharistiques, immergés dans le discernement?», signifie en toute simplicité «?ne pas avoir peur?». Pour lui, en effet, l’homme et la femme, qui portent ces traits «?ne reculent pas, ni ne se soumettent?». «?Ils savent transformer le désert, un lieu aride et inhospitalier, en refuge sûr où l’on conserve ce qui rend vivant?; sans utiliser les armes et la violence, mais avec la joie et la prière qui devient fidélité dans la promesse et dans le don de soi, ils ne permettent pas aux orgueilleux, aux riches, aux puissants, aux corrompus, de s’ériger en “exégètes de la vie”, “manipulateurs” des consciences et des corps des personnes, “voleurs” de l’avenir et de l’espérance.?»
S’inspirant des propos du pape François (Evangelium gaudium n. 87), le secrétaire d’État du Saint-Siège a poursuivi son homélie affirmant que la grotte ouverte de Lourdes, «?que nous voyons et touchons avec les mains et les yeux du corps et de l’esprit, comme et à cause du sépulcre vide de Jésus?», participait à la transmission de la «?mystique?» du vivre ensemble, «?de se mélanger, de se rencontrer, de se prendre dans les bras, de se soutenir, de participer à cette marée un peu chaotique qui peut se transformer en une véritable expérience de fraternité, en une caravane solidaire?». «?Que cette “mystique” accompagne toujours notre croissance dans le discernement?», a-t-il souhaité. «?Et qu’avec cela les traits de la Vierge Marie élevée dans la gloire grandissent en chacun de nous pour que nous puissions toujours plus appartenir joyeusement au peuple qui en porte filialement l’image dans la mesure où, sans hésitation, sans bavardages et murmures, on se consacre entièrement au pacte et à la marche qui rend missionnaires et évangélisateurs…?»En ligne : https://www.la-croix.com/Urbi-et-Orbi/Documentation-catholique/2020-06-09-120110 [...] Pour Mgr Parolin, face aux armes, la priorité reste la force du droit / Pietro Parolin in La documentation catholique, 2519 (juillet 2015)
Permalink“La prévention des catastrophes exige changement de mentalité” / Pietro Parolin in La documentation catholique, 2528 (octobre 2017)
PermalinkRescriptum ex audientia sanctissimi, rescrit pour les délits graves / Pietro Parolin in La documentation catholique, 2525 (janvier 2017)
PermalinkPermalinkRescrit sur les nouvelles normes d'administration des biens des causes de béatification et canonisation / Pietro Parolin in La documentation catholique, 2523 (Juillet 2016)
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